
Film Cosmétique
Film cosmétique haut de gamme pour Valmont. V-FIRM, c’est une ode à la matière. Une immersion dans l’univers somptueux de la Maison Valmont, où la haute cosmétique se dévoile dans un écrin de textures sensorielles. Pour sublimer cette nouvelle collection, nous avons imaginé un film qui embrasse l’exigence, la délicatesse et l’élégance d’un soin pensé comme un bijou.



Ce que révèle le film cosmétique
Texture sublimée
Ici, la texture n’est pas une simple matière : elle devient personnage. Grâce à l’expertise d’une set-designer spécialisée en cosmétiques, chaque crème prend vie sous l’objectif. Les mouvements sont lents, précis, presque chorégraphiés. L’œil s’approche, frôle la surface, capte la lumière. On ne filme pas une crème. On explore un territoire sensoriel.
Parole de dirigeante
Sophie Vann-Guillon, CEO de Valmont, prête sa voix au film dans une interview sobre, tournée en noir et blanc. Un choix fort, presque à contre-courant, pour incarner la vision d’une maison qui parle d’innovation avec calme, de luxe avec justesse. La narration devient intime, presque méditative. Loin des artifices, elle donne du corps à l’intention.
Signature visuelle
À l’image du contraste entre le doré éclatant des packagings et la monochromie élégante de l’interview, la réalisation de Chayanne Fressineau joue sur les tensions visuelles. Un dialogue entre sophistication et épure. Entre éclat et silence. Chaque plan est pensé comme une ponctuation. Rien de superflu. Tout est suggestion.
Une immersion dans la cosmétique
"Ce film n’est pas une vitrine. C’est une immersion. Une respiration. Un objet de soin, lui aussi."
"Ce film n’est pas une vitrine. C’est une immersion. Une respiration. Un objet de soin, lui aussi."Le film V-FIRM
Montrer la beauté sans la travestir. C’était ça, l’idée. Ou du moins, le point de départ. Tourner près. Juste assez pour que la matière s’impose d’elle-même. Pas d’artifices. Juste la lumière, la crème, et ce qu’il se passe entre les deux. Sans forcer. Sans pousser. Juste capter ce qui est déjà là.
Le reste, c’est du silence. Quelques plans de nature suisse, comme des pauses. Pas là pour meubler, mais pour rappeler. D’où vient cette exigence. Pourquoi tout ça sent le soin fait main. L’inspiration biomimétique, en sourdine. Pas besoin de le dire. Il suffit de regarder. Ce film ne cherche pas à convaincre. Il propose un espace. Un temps suspendu. Une manière discrète de dire qu’on peut encore ralentir. Et regarder. Vraiment.



